• (Partie 55) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

    Armand Félix Marie Jobbé-Duval (1821-1889) : Franc-maçon. Peintre. Quarante-huitard et élu du conseil municipal de Paris sous la Troisième République. Membre de la Loge des « Zélés Philanthropes ». En 1870, le gouvernement de la Défense nationale le nomme adjoint au maire du 15° arrondissement de Paris, où il organise la Garde nationale d’un quartier ouvrier. Il est condamné, puis amnistié pour son implication dans la Commune de Paris. Il siège ensuite au conseil municipal de Paris après avoir été élu le 30 juillet 1871 dans le quartier Necker du XV° arrondissement. Il y fut réélu jusqu’à sa mort.

    (Partie 55) La mission de la franc-maçonnerie en France au XXI° siècle.

     

    I

     

    Isard : Membre de la section française de l’Internationale.

     

    Alfred Isch-Wall (1839-) : Chansonnier. Auteur, avec Burani et Antonin Louis du Chant de l’Internationale.

     

    Henri Félix Théodore Iung (1833-1896): Colonel (1883). Chef de cabinet du général Boulanger. Général de brigade (1887). Général de division (1893). Député du Nord (1893-1896). Franc-maçon.

     

    J

     

    Anna Vassilievna Jaclard née Korvine Kroukovskaïa (1844-1887) : Fille d’un général russe et compagne du blanquiste Victor Jaclard. Elle a adhéré à l’Association internationale des travailleurs. Ce serait elle, sur la demande de Karl Marx, qui aurait réalisée la traduction russe de l’Adresse inaugurale de la première Internationale. Membre de la Commission de la Commune de l’enseignement des filles. Elle est secrétaire du Comité de Vigilance du XVIII° arrondissement et devient une des dirigeantes de l’Union des femmes. Après avoir organisé l’évasion de son mari, elle réside avec lui en Suisse et l’emmène en 1874 en Russie. Elle meurt à Pris en 1887.

     

    Victor Charles Jaclard (1840-1903) : Franc-maçon. Professeur de mathématiques. Docteur en médecine. Disciple de Pierre-Joseph Proudhon. Se joint à la Première Internationale fondée en 1864 à Londres. Puis bakouniniste et blanquiste. Représente la Première Internationale au Comité central de la Garde nationale. Chef de la 17° Légion. Condamné par contumace aux travaux forcés à perpétuité, il réussit à passer en Suisse et, de là, en Russie. Rentré en France après l’amnistie, Jaclard, qui, en 1871, avait été adjoint de Clemenceau à la mairie du XVIII°, devient secrétaire de l’homme d’Etat à la Justice.

     

    Edouard Jacques :

     

    Eugène Jacquet :

     

    Jean Jaurès :

     

    Armand Félix Marie Jobbé-Duval (1821-1889) : Franc-maçon. Peintre. Quarante-huitard et élu du conseil municipal de Paris sous la Troisième République. Membre de la Loge des « Zélés Philanthropes ». En 1870, le gouvernement de la Défense nationale le nomme adjoint au maire du 15° arrondissement de Paris, où il organise la Garde nationale d’un quartier ouvrier. Il est condamné, puis amnistié pour son implication dans la Commune de Paris. Il siège ensuite au conseil municipal de Paris après avoir été élu le 30 juillet 1871 dans le quartier Necker du XV° arrondissement. Il y fut réélu jusqu’à sa mort.

     

    Joseph Joffre :

     

    Jules Paul Johannard (1843-1888) : Franc-maçon. Lithographe. Réfugié à Londres, il adhère en 1867 à l’Association internationale des travailleurs. Membre de 1868 à 1872 du Conseil Général de l’Internationale. Blanquiste. Condamné à un an de prison lors du troisième procès de l’Internationale. Organisateur des sections de l’Internationale à Saint-Denis, début de 1870. Il est un des dirigeants du soulèvement du 31 octobre 1870, contre le gouvernement de la Défense nationale. Aux élections complémentaires du 16 avril 1871, il est élu au Conseil de la Commune et siège à la commission des Relations extérieures et à celle de la Guerre. Partisan de la Majorité. Il vote pour la création du Comité de salut public. Le 16 mai, il est nommé délégué civil auprès du général La Cécilia. Condamné à mort par contumace et réfugié à Londres. En 1871-1872, il est de nouveau membre du Conseil général de l’Internationale.

     

    Aline Jacquier : Brocheuse. Membre de l’Union des Femmes, représentant le 16° arrondissement.

     

    André Auguste Jacquin (1822- ?) : Commandant d’artillerie de la 17° Légion. Condamné par contumace à la déportation, réfugié en Belgique, il fut gracié en 1879.

     

    Aglaé Jarry : Communarde. Sans profession. Membre de l’Union des Femmes, représentant le 17° arrondissement.

     

    Georges Jeannneret : C’est sous ce nom que parut à Neuchâtel, en 1872, un ouvrage intitulé Paris pendant la Commune révolutionnaire de 1871.

     

    Jean Baptiste Jecker (1812-1871) : Banquier et homme d’affaires franco-suisse. Fusillé par les communards le 26 mai 1871 sur un terrain vague de la rue de Chine. Il est connu pour avoir mené des opérations financières douteuses dans la campagne du Mexique, sous le Second Empire.

     

    Job : Radical, un des 12 membres de la commission départementale de Marseille.

     

    Armand Félix Marie Jobbé-Duval (1821-1889) : Franc-maçon. Peintre. Quarante-huitard et élu du conseil municipal de Paris sous la Troisième République. Membre de la Loge des « Zélés Philanthropes ». En 1870, le gouvernement de la Défense nationale le nomme adjoint au maire du 15° arrondissement de Paris, où il organise la Garde nationale d’un quartier ouvrier. Il est condamné, puis amnistié pour son implication dans la Commune de Paris. Il siège ensuite au conseil municipal de Paris après avoir été élu le 30 juillet 1871 dans le quartier Necker du XV° arrondissement. Il y fut réélu jusqu’à sa mort.

     

    François Alexandre Jules Joffrin (1846-1890) : En 1871, il soutient la Commune de Paris et son ami, l’avocat Eugène Protot, qui dirige le Ministère de la Justice.

     

    Jules Paul Johannard (1843-1888) : Franc-maçon. Lithographe. Réfugié à Londres, il adhère en 1867 à l’Association internationale des travailleurs. Membre de 1868 à 1872 du Conseil Général de l’Internationale. Blanquiste. Condamné à un an de prison lors du troisième procès de l’Internationale. Organisateur des sections de l’Internationale à Saint-Denis, début de 1870. Il est un des dirigeants du soulèvement du 31 octobre 1870, contre le gouvernement de la Défense nationale. Aux élections complémentaires du 16 avril 1871, il est élu au Conseil de la Commune et siège à la commission des Relations extérieures et à celle de la Guerre. Partisan de la Majorité. Il vote pour la création du Comité de salut public. Le 16 mai, il est nommé délégué civil auprès du général La Cécilia. Condamné à mort par contumace et réfugié à Londres. En 1871-1872, il est de nouveau membre du Conseil général de l’Internationale.

     

    Jean François Jolivalt (1834- ?) : Après le 4 septembre, il organisa la Garde nationale de Saint-Etienne. Le 25 mars, il déclencha l’insurrection communaliste de Saint-Etienne et fut nommé commandant de la place.

     

    Maurice Joly (1829-1878) : Avocat du barreau de Paris, journaliste et écrivain.

     

    Josselin : Membre du Comité central de la Garde nationale.

     

    (A.G.) Jouaust (1825-1889) : Ecrivain maçonnique. Avocat près de la Cour impériale de Rennes. Auteur de : Histoire du Grand Orient de France (1865). Franc-maçon. Membre de la loge « La Parfaite Union », orient de Rennes, Grand orient et membre du Conseil de l’Ordre du Grand Orient.

     

    François Jourde parfois prénommé Francis (1843-1893) : Franc-maçon. Clerc de notaire, comptable dans une banque, puis employé des Ponts et Chaussées de la Ville de Paris. Délégué au Comité central de la Garde nationale (160° bataillon). Tendance « internationaliste ». Elu du V° arrondissement à la Commune. Elu le 26 mars au Conseil de la Commune. Nommé délégué aux Finances. A publié en 1877 Souvenirs d’un membre de la Commune. Arrêté le 30 mars 1871. Condamné à la déportation, il embarque le 13 juin 1872 pour la Nouvelle-Calédonie ; il s’évada avec Rochefort en 1874.

    Il est initié à la loge « Les Zélés Philanthropes », orient de Paris, le 9 novembre 1866. Admis aux grades de Compagnon et de Maître le 16 avril 1867, il est orateur de la loge pendant trois ans, de 1868 à 1871. Le 9 juin 1871, la loge le radie « pour conduite indigne dans sa vie profane ». Décembre-Allonier le fait exclure alors qu’il était déporté en Nouvelle-Calédonie, d’où il s’évada avec la complicité des frères de la loge locale, qui sera fermée. Exilé à Londres après son évasion du bagne, il écrit en 1874 aux « Zélés Philanthropes », pour demander qu’on lui adresse son diplôme de Maître. Sans doute voulait-il s’affilier à la loge « Les Philadelphes » à Londres. Refus de l’obédience : « Le frère Jourde a été signalé aux Ateliers et aux maçons de l’obédience comme étant exclu de la maçonnerie française… ». L’obédience avait choisi Thiers contre la Commune.

     

    François Henry Jumel (1847-1918) : Député des Landes (1886-1906). Vota contre l’impôt sur le revenu, pour la suppression de l’enseignement congrégationiste et la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Franc-maçon,. Figure au Bulletin du Grand Orient (1893).

     

    K

     

    Charles Keller (1843-1913) : Membre du Conseil Général de l’Internationale. Traducteur d’une partie du tome 1 du Capital (1869-1870) en français. Il prit part à la Commune et se réfugia en Suisse après sa défaite.

     

    Emile comte de Kératry (1832-1904) : Militaire. Député du Finistère. Préfet de police le 4 septembre 1870.  Thiers fait remplacer le préfet radical Duportal par Kératry, ancien préfet de police de Paris, dès le 21 mars, à Toulouse. La Garde nationale impose une très éphémère Commune le 24 mars, mais Kératry reprend la ville avec ses forces dès le 27, tandis que les membres de la commission exécutive trouvent avec lui un accord. Franc-maçon. Initié à la loge « Les Amis de Sully », orient de Brest, en 1869.

     

    Kervisik : Marin. Communard. Déporté à la presqu’île Ducos.

     

    Léon Klein : Franc-maçon. De la Loge de l’Union parfaite de la persévérance. Signataire de l’appel du 5 mai 1871.

     

    Sofia Vassilievna Kovalevskaïa (en français, Sophie Kowalevski) née Sofia Vassilievna Kroukovskaïa (1850-1891): Mathématicienne russe. Sœur d’Anna Jaclard. Elle participe avec sa sœur Anna à la Commune de Paris. Elle soigne les communards blessés. Elle aide plus tard à l’évasion de Charles Jaclard.

     

    L

     

    Etienne Labrunie (1776-1859) : Docteur en médecine. Médecin-adjoint et chirurgien de la Grande Armée. Père de Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval. Franc-maçon.

     

    Napoléon François Paul Thomas La Cécilia (1835-1878) : Franc-maçon. Professeur de mathématiques. Chef d’état-major du général Emile Eudes. Le 24 avril, il est nommé général. Condamné par contumace à la déportation, il meurt au Caire. Il avait le grade de colonel dans l’armée régulière.

     

    Marie David, devenue Marie La Cécilia : Communarde. Epouse de Napoléon La Cécilia.

     

    Pierre Casimir Hyppolite Lachambeaudie (1806-1872) : Franc-maçon. Fabuliste, poète, goguettier, chansonnier. Saint-simonien. Il prit part aux manifestations maçonniques en faveur de la Commune. Loge de « la Rose du parfait silence ». Signataire de l’appel du 5 mai 1871.

     

    Claude Maurice baron de Lachastre (1814-1900) : Disciple de Saint-Simon. Pendant le siège, il collabora au Combat de Pyat et sous la Commune au Vengeur. Capitaine du 4° bataillon fédéré. En exil Lachastre proposa à Marx de faire une édition française du Capital et la publia en 44 livraisons à bon marché d’août 1872 à mai 1875.

     

    Charles Mercier de Lacombe (1832-1904) : Franc-maçon. Signataire de l’appel du 5 mai 1871.

     

    Louis René Paul de Ladmirault (1808-1898) : Général qui a participé activement à la répression de la Commune. Franc-maçon ;

     

    Paul Lafargue (1843- se suicide le 25 novembre 1911) : Gendre de Karl Marx. Médecin. Journaliste. Membre du Conseil Général de l’Internationale. L’un des leaders du Parti Ouvrier Français. Député de Lille (1891-1893). A soutenu le boulangisme, mouvement préfasciste. Il soutiendra que « le boulangisme est un mouvement populaire justifiable à beaucoup de titres », malgré les amères critiques et nombreuses mises en garde que viennent de lui adresse Engels, Liebknecht et Bebel. Franc-maçon. Membre de la loge « L’Avenir ». Devient par la suite un adversaire de la franc-maçonnerie au sein du pari socialiste.

     

    Louis Lafferre :

     

    Louise Laffitte : Déléguée de la Société de l’Ecole Nouvelle.

     

    Jacques Lafitte (1767-1844) : Régent, puis gouverneur de la Banque de France. Député de Bayonne en 1827. Franc-maçon. Fondateur et vénérable de la loge « Les Trois Jours », orient de Paris en 1830, qui réunissait les vainqueurs de Paris.

     

    E. F. Lagarde : Abbé. Grand vicaire. Vicaire général de Paris. Envoyé comme émissaire à Thiers pour l’échange de Mgr Darboy et Blanqui, il ne revint pas.

    Dans L’ultimatum de Rothschild, le 8 janvier 1882, il écrit : « A entendre ce document, ce sont les descendants du pouilleux marchand de vieux habits de Francfort qui ont créé le crédit et la prospérité de la France, parce que, eux, si modestes encore en 1816, ont prélevé des centaines de millions sur la fortune sociale de la France, et sont aujourd’hui plus puissants et plus servilement servis que le tsar blanc de toutes les Russies. L’ultimatum est net. Rothschild ne permet la conversion, qui dégrèverait le budget de plus d’une centaine de millions, que s’il peut la tripoter à son profit. ».

     

    Lagarde : Membre du Comité central de la Garde nationale.

     

    Charles Marie Lagrange (1835-1872) : Officier payeur au 169° bataillon de la Garde nationale. Fusillé à Satory le 22 février1872.

     

    Georges Laguerre (1858-1912) : Avocat. Député du Vaucluse (1883-1889), de la Seine (1889-1893), à nouveau du Vaucluse (1910-1912). Franc-maçon. Il était un des grands espoirs de la Maçonnerie du Grand Orient, tout autant que du Parti républicain, lorsqu’en 1888, il se rallia au « boulangisme », dont il représentait l’aile gauche. Après de longs débats, il fut suspendu, puis exclu, du Grand Orient de France (1889-1890).

     

    Félix Lambrecht (1819-1871) : Polytechnicien, ingénieur des Ponts et Chaussées. Ami personnel de Thiers. Ministre de l’Agriculture et du Commerce dans le gouvernement Thiers. Il quitte ce portefeuille pour prendre l’Intérieur le 5 juin 1871.

     

    Bernard Landeck (1832- ?) : Joaillier. Il adhère à l’AIT en 1866. Fait partie de la délégation, avec Amouroux, envoyée par la Commune de Paris à la Commune de Marseille. Après la Commune, il se réfugie à Londres auprès de Karl Marx. La rumeur lui prêta de vouloir épouser Jenny.

     

    Rita Landier : Communarde.

     

    Landowski : Blanquiste.

     

    Emile Landrin (1841-1914) : Ouvrier ciseleur sur bronze. Membre de la section parisienne de l’Internationale. Militant blanquiste et socialiste ; conseiller municipal de Paris.

     

    Jean Marie de Lanessan :

     

    Camille Pierre Langevin (1843-1913) : Tourneur sur métaux, ouvrier mécanicien. Membre de l’Association internationale des travailleurs. Fondateur du Cercle d’études sociales. En juillet 1870, lors du 3° procès de l’Internationale, il est condamné à deux mois de prison. Le 26 mars 1871, il est élu au Conseil de la Commune et siège à la commission de la Justice. Il vote pour la création du Comité de salut public. Condamné à mort par contumace.

     

    Amédée Jérôme Langlois (1819-1902) : Colonel. Journaliste. Membre de l’Internationale ouvrière. Ami puis exécuteur testamentaire de Proudhon.

     

    Langourian : Général.

     

    Eugénie Lapavoine : Communarde.

     

    Baron Charles Paulin Roger Saubert de Larcy (1805-1882) : Juriste. Partisan du comte de Chambord. Député de l’Assemblée nationale le 8 février 1871.

     

    Largilière : Blanquiste.

     

    Laroque : Membre du Comité central de la Garde nationale.

     

    F. Lassassie : Coiffeur. Membre du Conseil Général de l’Internationale.

     

    Henri Godefroi Bernard Alphonse de La Tour d’Auvergne-Lauraguais (1823-1871) : Diplomate. Dernier gouvernement de Napoléon III. Ministre des affaires étrangères.

     

    Gilbert Lavalette (1829-1905) : Plombier gazier. Commandant du 159° Bataillon. Membre du Comité central de la Garde nationale. Condamné aux travaux forcés à perpétuité. Il parvient à s’enfuir en Suisse. Membre de la Société des proscrits de Genève, La Solidarité, et administrateur du restaurant coopératif La Marmite, mis en place afin de donner à manger aux exilés en difficulté. Au sein des exilés, Lavalette est considéré comme un traître. Il obtient sa grâce en 1879 et rentre à Paris.

     

    Sylvain François Jules Merle de la Brugière, comte de Laveaucoupet (1806-1892) : Général. De retour de captivité après la chute de Metz, il est rappelé par le gouvernement versaillais qui lui donne le commandement d’une division. Il participe aux derniers combats et à l’enlèvement le 28 mai 1871 de la butte Montmartre pendant la Commune.

     

    Jules Le Batteux :

     

    Louis Lebeau : Franc-maçon. De la Loge « la Prévoyance. Signataire de l’appel du 5 mai 1871.

     

    André Lebey :

     

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